"De l'autre côté de nos frontières, quand on veut apprendre la langue de Molière, on rit jaune" : en dialecte wallon (pays de Liège par exemple), notamment, on a conservé les "s" qui furent remplacés par des accents. L'école est une escole, on respond au lieu de répond, un baston fait office de bâton, etc. La difficulté, c'est plutôt "de côté-ci" des frontières politiques actuelles.Je serais curieux de savoir ce qu'il en est chez nos cousins helvètes... Mais pour les non--francophones, c'est un vrai obstacle à l'apprentissage, tout comme le nombre de lettres que l'on doit écrire mais que l'on ne prononce pas. Je songe à des amis allemands qui ont renoncé à apprendre le français pour cette raison.